Question:
Que faut-il comme ingrédients pour écrire une bonne histoire?
2010-10-21 06:49:02 UTC
Que faut-il comme ingrédients pour écrire une bonne histoire?
Seize réponses:
2010-10-21 11:42:57 UTC
Des pompes à glands, un 4x4, un ami commercial chez Xerox, et une famille de boulets ...
2010-10-21 14:18:21 UTC
du sel, du piment, un larme de suspens, une once de romantisme, et une bonne dose d'humour et pour lier le tout, de l'onctueux du miel , avec du sexe et de l'amour , on peut aussi la farcir de déjanté et avec un doigt de dérision ça corse !!!

Ca fait un malheur
2010-10-22 12:55:09 UTC
Selon la plupart des grands théoriciens de la dramaturgie (d’Aristote à McKee), une bonne histoire suit un développement en trois actes : exposition, développement, dénouement.



L’exposition présente le narrateur, ainsi que le protagoniste dans le cas où il s’agit de deux personnages différents, leur psychologie, leurs valeurs et leurs principes moraux (ce qu’on appelle l’axiologie). Elle expose également les relations qu’ils entretiennent avec les personnages secondaires, avec le monde dans lequel ils évoluent et leur rapport avec la structure sociale. Une fois ce « background » clairement établi, il se produit généralement un événement perturbateur qui les met en quelque sorte au pied du mur et les force à prendre une décision, à se charger d’une quête, à formuler un objectif. Les ayatollahs de la structure dramatique insistent sur le fait que cet objectif doit être clairement défini, et qu’il doit demeurer le même jusqu’à la fin du récit.



Le développement est la partie la moins théorisée, puisqu’à l’instar d’une partie d’échecs le nombre des possibilités offertes par l’exposition atteint des proportions qui interdisent toute modélisation. On s’accorde cependant sur certains principes de bon sens : le protagoniste doit rencontrer des obstacles sur le chemin qui le mène vers son but, et ces obstacles doivent être de plus en plus difficiles à surmonter. Il s’agit simplement de maintenir la tension jusqu’au bout, ainsi qu’une réelle incertitude quant aux chances de succès du personnage. Chacun de ces obstacles créent autant de sous-objectifs à atteindre, et ouvrent donc à l’intérieur de la structure générale des schémas structurels mineurs qui reproduisent exactement la construction en trois actes : présentation de l’obstacle, développement des moyens mis en œuvre pour le surmonter, franchissement de l’obstacle. On parle à ce sujet d’organisation fractale du récit (certains affirment même que l’on peut encore appliquer la structure ternaire à l’intérieur de ces phases, et à des échelles de plus en plus réduites, jusqu’à la simple ligne de dialogue).



Le dénouement démarre après que le protagoniste a atteint son objectif principal. Tous les moyens mis en œuvre dans ce but aboutissent, y compris ceux choisis pour la résolution des sous-objectifs, dans une mesure que le lecteur/spectateur est capable de déterminer clairement. Toutes les questions qui ont été posées trouvent, ou ont trouvé, leur réponse : il ne reste aucune zone d’ombre. La situation retrouve un point d’équilibre, mais le plus important est de montrer que le personnage a évolué, psychologiquement, socialement ou moralement.



Bien sûr, même si ces principes offrent un cadre de création assez vaste, puisqu’ils n’indiquent pas une direction ni un contenu, mais un mode de fonctionnement, ils restent largement contestables, et pour chaque exemple d’histoire qui les applique on peut trouver dix contre-exemples d’une qualité pourtant comparable. Il s’agit simplement de relevés plus ou moins statistiques sur la structure des histoires qui, depuis le bouillonnement mythologique de l’antiquité jusqu’aux succès de l’ingénierie hollywoodienne, se sont le plus largement diffusées. Mais on est en droit de se poser une question : est-ce que ces histoires ont plu parce que leur structure entre en écho avec la structure psychologique même des lecteurs/spectateurs, ou bien est-ce que cette structure psychologique s’est formée selon les principes qu’on a toujours fait suivre à nos constructions fictionnelles ? C’est le problème de l’œuf et de la poule, qu’il est d’autant plus intéressant de soulever, à une échelle personnelle, lorsque l’on considère que la plupart des œuvres qui nous ont marqués étaient précisément celles qui sortaient strictement des cadres structurels classiques.



Il existe une abondante littérature sur le sujet, qui va du guide d’écriture scénaristique jusqu’aux essais de pure sémiologie. Pour ma part, un seul principe me semble réellement fiable, qui a trait à la manière dont on invente une histoire : l’idée qu’on veut transmettre, ce qui nous tient à cœur et qui nous est le plus personnel, constitue le fin mot de l’histoire. Et on part de là, à rebours, jusqu’au début du récit, en inventant toutes les manières d’y parvenir, afin de rendre cette idée strictement personnelle accessible aux autres. Ce qui sépare le début de la fin, en quelque sorte, c’est un long travail de traduction depuis une langue étrangère.
?
2010-10-22 09:39:09 UTC
une histoire déjà des personnages des méchants des gentils des déglingues du cerveau un lieu avec des panoramas magnifiques et bien décrit ni trop long ils seraient ennuyeux ni trop court sans intérêt

attends on sonne à ma porte je reviendrais ...
boubounette
2010-10-22 05:06:04 UTC
Bonnes connaissance sur les lieux, faits de l'histoire., une bonne imaginations
enere
2010-10-21 22:44:43 UTC
Mélange plusieurs idées pour obtenir une histoire toute neuve
2010-10-21 17:38:49 UTC
du C....... !!!!!!!
2010-10-21 14:28:03 UTC
Un protagoniste avec un objectif à atteindre, malgré les obstacles externes et internes (psychologiques).
?
2010-10-21 14:17:15 UTC
du sexe et de la violence
çavapaschangerlemonde
2010-10-21 14:01:17 UTC
Pfuiii !! Si j'avais assez de talent pour écrire l'histoire de ma vie...... de mes vies.

Hummmm !! il y a eu celle d'avant , celle de pendant, et celle d'après !!!

Et crois mois c'est pas triste , enfin si on veut.......
2010-10-21 14:00:23 UTC
- une histoire simple basée sur les émotions et la vie quotidienne



- de la profondeur avec une interprétation symbolique, de l'intrigue, un message



- peu de personnages (maximum 3 personnages principaux)



- une montée en action, puis une retombée.

Le mieux, c'est quand il y a une petite action puis une grande action. Si la grande action est surprenante, le lecteur s'attachera une deuxième fois à l'histoire.
2010-10-21 13:58:30 UTC
Toi, là, tu as un souci avec Mauricette pour poser autant de Q.......
lina54
2010-10-21 13:53:44 UTC
l'avoir vecue
2010-10-21 13:52:16 UTC
voltaire pourrait te donne des infos , moi je n'en ai pas ,ma vie est simple , logiue normael e basique sans a nciroche sauf quelques petits inconvnients mais propres a chacun



un pee gay une mère multre ,

un frer guitariste ,

enfin tu s rien que de tres normal





par contre regine a tres bien reussi son bouqin les petits papiers peut etre c'est ca l ce de la gloire ds petis papiers qui trainent partou t ou des chaussettes il parait que ca denote un certin bordelisme
emilohim
2010-10-21 13:51:25 UTC
un bon début, une bonne fin aussi rapprochés que possible l' un de l' autre ! bonne journée !
Sir Gaëtan Duval
2010-10-21 14:12:27 UTC
Chère vous,



du sang et du boule.



Bien à vous,



Gaëtan


Ce contenu a été initialement publié sur Y! Answers, un site Web de questions-réponses qui a fermé ses portes en 2021.
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