Bien le Bonjour, Boubs!
Il se peut qu'on devienne un parfait chimiste sans le savoir, un vrai chef sans la formation, au moins sur un "coup", tu as raison.
Je n'appellerais pas ça un "coup de génie", mais un coup de maître, initié par l'envie de réussir et le plaisir de faire.
On transporte aussi en nous un patrimoine famillial, des gestes devenus notres et quelques traditions...
Pour ma part, l'Ailloli est une "religion"! Le râter serait un sacrilège! C'est même impossible.
Alors avec un mauvais bol et une vilaine fourchette, un oeuf glacé et une huile de vidange, je ferais quand même UN AILLOLI DU TONNERRE DE DIEU! Un vrai, solide, jaune d'or, compact, le truc qui tue ou qui t'envoie direct dans la chaise-longue...Mortel!
Aussi, là où tu parles "technique", je te réponds "passion".
J'aimerais beaucoup avoir la technique...
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Là, je ne peux pas être ok avec toi. Un ailloli, c'est un ailloli, pas un produit de régime!
Oui j'ai aussi un truc: La compactitude s'obtient avec un départ à la patate bouillie, mais punaise, ne me parle pas d'ailloli sans jaune d'oeuf quand je te parle de traditions!
Je suis la première à les détourner, toutes...mais pas celle-là!
pas ma tradition Provençale: Elle doit survivre!
..............Y va réussir à me mettre en colère, ce breton!
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Donc en Bretagne, y a des chameaux!